On voit un danseur évoluer en solo, et dans le silence (le film est muet) sur un fond de nature, puis dans un intérieur classique. Le geste est montré de façon épurée, graphique, puis on s'attache au visage du danseur, qui semble impassiblement beau, comme détaché de tout effort, de toute contrainte physique.

Un championnat de lutte traditionnelle, avec des hommes enduits de graisse et vêtus d’une épaisse culotte de cuir. Dans l’enceinte de cette compétition, des danseuses du ventre se donnent en spectacle.

Des psychiatres, une chorégraphe, un chanteur haute-contre, tentent une expérience avec des patients de l’hôpital psychiatrique de Ville-Evrard. Une tentative de thérapie par la danse à travers un ballet inventé au jour le jour par la chorégraphe Kitsou Dubois.

Travail sur la qualité de mouvement en pixilation, chorégraphie de Laurence Rondoni et Sara Denisot sur le thème du tango.

Ce film est une sorte de miroir magique de la danse. Margaret Mercier et Vincent Warren, deux étoiles des Grands Ballets canadiens, évoluent sur un pas de deux. McLaren capte la grâce de leurs mouvements et la fait sienne en multipliant l'image au moyen de l'impression optique. Le tournage s'est fait dans un studio où murs et sol étaient totalement noirs, un éclairage latéral ne laissant voir que les silhouettes des danseurs vêtus de blanc. La plus harmonieuse synthèse possible de la recherche et de la création. 
Chorégraphie de Ludmilla Chiriaeff.

Jean Yanne alias Johnny Rock Feller interprète une de ses chansons intitulée J’aime pas le Rock.
Sublime petit film sur fond de Rock, aussi drôle que dansant.