Projection

En présence de Odiot Alice, Viallet Jean-Robert

Cette séance est accompagnée

En savoir plus
▉ Rencontre avec les réalisateur·ices Alice Odiot et Jean-Robert Villaet, et Catherine Catella, la monteuse du film. ▉ Dans le cadre du rendez-vous documentaire de La Baleine, en partenariat avec La Cinémathèque du documentaire   Jeudi 2 octobre | 20h30 𝗦𝗧𝗨𝗣𝗦 d'Alice Odiot & Jean-Robert Viallet 2025 / France / 1h26
 FIPADOC, Biarritz 2025 Une grande porte en métal qui coulisse pour laisser entrer les fourgons de la Police. Des hommes en sortent, avec leurs histoires. Des murs, des geôles, des escaliers en pierre, des salles d’audience, des coulisses, des larmes, des cris, des regards. Le tribunal de Marseille est débordé par les affaires de stupéfiants. Ceux qui sont jugés là sont les gérants d’une économie du chaos. Ce sont aussi les petits travailleurs du shit, des enfants qui ont grandi seuls. En contrebas, le port, au loin, les quartiers périphériques, la ville bouillante, remplie de ses blessures. De ses beautés aussi.  « Le film raconte une société où le narcotrafic prospère sur les inégalités. Et, grâce à leur mise en scène aussi rigoureuse qu’empathique, les cinéastes montrent la grande solitude des prévenus, mais aussi celle des juges, contraints de prendre des décisions complexes dans un temps de plus en plus limité. » (Télérama)

Organisé par

Cinéma La Baleine (Marseille, Provence-Alpes-Côte d'Azur)

Cinéma La Baleine

59 cours Julien, 13006 Marseille

Payant

En savoir plus

Tarif

9,50€ / 7,50€ / 6,50€ / 4,50€

De : Odiot Alice, Viallet Jean-Robert

Année : 2024

Durée : 86

Pays de production : France

Production : Unité

Une grande porte en métal qui coulisse pour laisser entrer les fourgons de la Police. Des hommes en sortent, avec leurs histoires. Des murs, des geôles, des escaliers en pierre, des salles d’audience, des coulisses, des larmes, des cris, des regards. Le tribunal de Marseille est débordé par les affaires de stupéfiants. Ceux qui sont jugés là sont les gérants d’une économie du chaos. Ce sont aussi les petits travailleurs du shit, des enfants qui ont grandi seuls. En contrebas, le port, au loin, les quartiers périphériques, la ville bouillante, remplie de ses blessures. De ses beautés aussi.