Pour approcher la figure de Fadhel Messaoudi, maître de Oud laissé entre la vie et la mort par un grave accident, Nader Ayache installe un dispositif fictionnel audacieux : une vision subjective, des images en VR, un avatar. Nourri par la bricole et la débrouille, son film renouvelle, avec bonheur, l’écriture du portrait.