Projection

Cette séance est accompagnée

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NE PAS DISPARAÎTRE
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une programmation à vivre en intégralité
Samedi 10 décembre - de 14h à minuit
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Comment meurent celles et ceux qui ont déjà souffert mille morts ? Discrètement souvent, de manière anonyme parfois. Or il n’y a pas de mort quelconque - comme il n’y a pas de vie quelconque. Un parcours documentaire pour redonner chair aux disparu·es et regarder ce qui de leur vie (et de leur mort) nous concerne intimement, nous agite peut-être, et nous transforme certainement.
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dans le cadre de la journée La mort au risque du réel

Organisé par

À bientôt j'espère (GRENOBLE, Auvergne-Rhône-Alpes)

Salle Stendhal

MJC Les Allobroges, 5 Rue Hauquelin, 38000 Grenoble

Payant

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Tarif

15€/20€/25€ au choix

De : Poukine Alexe

Année : 2013

Durée : 74

Pays de production : France

Production : Abacaris Films

L'oncle de la réalisatrice était sans-abri. Elle cherche à savoir comment il a pu en arriver là en interrogeant les membres de sa famille et en suivant deux sans-abri pendant plusieurs années. Elle dévoile ainsi la nostalgie de leur vie d'avant, montre la dureté de leur quotidien et leur difficulté à sortir à nouveau de la rue, à renouer avec leurs proches. Elle nous fait voir celles et ceux que l'on croise tous les jours sans jamais les connaître.

De : Bethel Isidore

Année : 2018

Durée : 71

Pays de production : France

Production : Because the Night Productions

Comment faire face à la mort subite d’un être cher ? Avec cet émouvant voyage à la recherche du temps perdu, entre l’enfance et l’âge adulte, Isidore Bethel se livre à une méditation obsédante sur la perte, l’amour et l’héritage que laissent les mort·es à ceux et celles qui leur survivent. À travers ce tourbillon d’émotions contradictoires émergent le portrait tendre de l’ami disparu et la force de son attachement.

De : Fechner Eberhard

Année : 1969

Durée : 57

Pays de production : RFA

Production : NDR (Norddeutscher Rundfunk)

Klara Heydebreck est morte à 72 ans d’une overdose de somnifères un soir de mars 1969. A partir des traces administratives laissées derrière elle, factures, loyers, fiches de paie, tickets, Eberhard Fechner décide ne pas laisser Klara Heydebreck devenir l’une des lignes anonymes des statistiques de suicides de l’année 1969. Et cinquante ans plus tard, le souvenir de son existence est toujours là.