C'est la question qui est posée par surprise à des Israéliens dans les lieux de nuits à Tel Aviv ou sur les campus, là où se trouvent les sujets susceptibles d'être affranchis de la pensée commune. Pourtant cette question crée le trouble et met les concernés face à la question de l'autre à partir de l'hypothèse de son intrusion dans leur intimité.
Les frontières de l'identité se brouillent et nous aident à voir autrement le choc israélo-palestinien, judéo-arabe, judéo-islamique et dépasser ce choc en s'écartant des identités closes.